Le changement climatique et le CO2 sont sur toutes les lèvres aujourd'hui. Mais le concept à la mode du changement climatique a été précédé par des discussions sur le « pic pétrolier » : des débats à propos du moment où la production pétrolière atteint son maximum au niveau local, régional ou mondial et diminue ensuite. L'industrie des véhicules utilitaires et le domaine des transports sont bien préparés à relever ces défis.

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Va-t-on bientôt manquer de pétrole ? Et surtout, l'industrie des véhicules utilitaires et l'industrie du transport ont-elles fait preuve d’eVOLUTION ? « En aucun cas », si l'on en croit le journal syndical de gauche, « work ». Ce dernier a récemment publié une grande attaque politique à l'encontre de ses propres camarades (19.03.2019) :

« L'UE exige une réduction rapide des émissions de CO2 de l'industrie automobile et fera payer les gangsters du diesel. » Il poursuit : « La nouvelle Conseillère fédérale de l'Environnement Simonetta Sommaruga ne fait que se lamenter, contrairement à l'UDC-brailleur et transporteur Ueli Giezendanner. »

« Les mordus de technologie » avec « du carburant dans le sang »

C’est un coup bien placé et ça fait mal. Et cela peut être considéré comme un éloge de la branche du transport et de l'industrie des véhicules utilitaires. Mais le fait que les constructeurs de véhicules utilitaires et le domaine du transport se préoccupent aujourd'hui avec tant de rigueur de l'environnement et des technologies d'entraînement n'est pas une coïncidence et a une longue tradition. Bien avant que les jeunes aient déclaré la grève du climat, des entrepreneurs responsables et des développeurs de véhicules suivaient les nouvelles technologies. D’ailleurs, l'industrie est confrontée à la finitude probable du pétrole depuis des générations. Et donc aussi avec ce qu'on appelle le « pic pétrolier ». La plupart des entreprises de transport et des constructeurs de véhicules utilitaires s’applique :

Ils ont « du carburant dans le sang » et sont des « fous de technologie ». Ou, comme l'Aargauer Zeitung (14.08.2015) l'a écrit dans un portrait de Hanspeter Setz, membre d'honneur de l'ASTAG : « C'est l'incarnation de l'esprit et de l'âme de la société de transport et du passionné de technologie. »

 

[Note : Ceci est le  1er de 7 articles sur le « pic pétrolier » qui sera publié sur transport-ch.com.]

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